Selon la professionnelle en relations humaines, le célibat comporte plusieurs avantages. « Ne pas avoir de partenaire peut être bénéfique », affirme-t-elle. « Les personnes seules peuvent notamment se concentrer sur leurs propres besoins, goûts et envies. Elles n’ont pas à faire de compromis au quotidien. (Les compromis sont souvent des sources de frustration et de conflit dans le couple.) La clé du bonheur, c’est d’accepter sa situation et d’en tirer le meilleur parti. »
Le saviez-vous? |
Conseils pour être heureux en solo
- Accordez-vous de l’importance. « Le célibat peut représenter une belle occasion d’apprendre à vous connaître, tout particulièrement après une rupture. C’est le temps de découvrir ce que vous voulez et aimez vraiment », souligne Natalie Galdamez.
- Entourez-vous d’autres personnes célibataires. Certaines activités sont considérées comme plus agréables en groupe, petit ou grand. À travers les réseaux sociaux ou les organismes communautaires, vous pouvez trouver des gens avec lesquels faire des sorties au restaurant, au cinéma, au musée, etc.
- Fixez-vous des objectifs personnels. Vous pourriez, par exemple, réaliser un tableau de visualisation sur lequel vous colleriez des images inspirantes et noteriez des projets motivants (voyage, promotion, investissement immobilier…).
- Bougez régulièrement. Pratiquer une activité physique, comme la marche, la course ou la nage, permet au cerveau de sécréter des hormones (endorphine, dopamine…) qui procurent une sensation de satisfaction, et même de bonheur.
- Impliquez-vous dans une cause. Rien n’est plus agréable que de se sentir utile, et il existe une foule d’organismes à but non lucratif à la recherche de bénévoles dévoués.
« Comme travailleuse sociale, je recommande toujours aux personnes célibataires de s’investir dans ce qui les rend heureux. Ce peut être le travail, le sport… Peu importe! Cela dit, les gens qui éprouvent de la difficulté à accepter leur situation pour une raison ou une autre peuvent communiquer avec l’Accueil psychosocial du CIUSSS du Nord-de-l’Île-de-Montréal. Elles obtiendront ainsi le soutien nécessaire », conclut Natalie Galdamez.
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